nicoyas a écrit:
Diable ! Allons-nous vers un Balanoî-revival ? Y-a-t-il une Alkhémia-attitude ? Bref , un 80'spirit GN ?
non je te rassure tout de suite (le dédéhesque est mort), je l'ai tué hier soir. Mais si les jeunes jouent en version 3.5 je te fiche mon billet qu'ils recommenceront ce qui fut fait sans sourciller.
nicoyas a écrit:
Sans retomber dans les travers (bien rigolos sois dit en passant...) des jeux des temps anciens, il est à noter une tendance au dégraissage des règles parmis les gens que je cotoie. Certes, le fait que nous soyons de la même époque peut expliquer ceci mais pas seulement.
Je le vois , oui, même si la vision du GN par le petit bout de la lorgnette du JDRsTable à la vie dure.
nicoyas a écrit:
Tendance qui est à mettre en opposition avec la nouvelle vague de jeunes joueurs élevés au GW qui reproduisent en GN se qu'on leur a appris en wargame ou en Donjon et cornichons. A savoir avoir une foultitude de compétences et un besoin à (mettre ici le terme désignant le choix et l'amélioration extrème et hyper ciblé des compétences en vue d'une utilisation spécifique"-terme utilisé en forum de wargameurs dont je n'arrive pas à me souvenir-).
Ce qui donne parfois des questions curieuses (une tour de guet est-elle une arme ?"- je peux avoir une hache à deux mains dans chaque main ? .Il y a une compétence pour avancer dans le camp ennemi sans se faire remarquer ? ...)
Bref, allons nous vers la confrontation, de face ente deux écoles, entre les jeunes et les vieux kons ?
Oui, on apprend plus de soi même en s'essayant à imiter une vie de personnages dans cette réalité que dans un hypothétique alter ego fais de compétence sur le papier. Je suis bien d'accord.
Je crois en effet que les joueurs passent tous par ce cycle que nous avons connu : on part de règles JDR, on se rend compte qu'on pond 40 pages de règles inutiles, qui font les inter-jeux entre GN pour les montées de niveau ou point s d'exp.
Passé le nième GN, on se prend à améliorer le scénario puis on en arrive à penser chaque perso comme dans un huis clos .
Aujourd'hui on peut leur dire qu'il gagneront du temps à se concentrer sur un scénar, sur une connaissance et sur l'exploitation d'un terrain de jeu, qui nécessite peut-être plus de maturité, mais qui au bout du compte est vraiment payant.
L'attrait du jeu se reporte au "role play" voire "play acting"[comédie]. Et l'on découvre les joies d'un jeu ou 10 lignes d'explications permet de régler des conflits sans triche, comme sur BCB qui fut pour moi, physiquement un bonheur.
Certes qui va encore s'améliorer côté intéraction diplo, sans toutefois gâcher ce que nous aimons faire au fond des bois
: infiltrer, adrénaline quand tu nous tient !
Cdt,
Max Pauron
(1) jeu libre (2) jeu réglé