Damned, j'étais pourtant sur d'avoir posté quelque chose (mais vérification faite, j'avais bien oublié).
En fait, l'adaptation a été réalisée, et a été diffusée les 17 et 18 décembre sur SkyOne, et devrait être rediffusée ces jours-ci.
Bon, je me lance.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas l'univers du Disque-Monde :
Comme son nom l'indique, il s'agit d'un disque, posé sur le dos de quatre éléphants géants, eux-mêmes se tenant sur le dos de la grande A'Tuin, une tortue gigantesque.
« Il s’agit d’un univers de fantasy, mais de fantasy moderne. C’est ce à quoi ressemblerait le Seigneur des Anneaux 500 ans plus tard, quand toutes les batailles sont finies et que la vie reprend son cours, et les trolls, mages, elfes, nains et tout le reste deviennent des citoyens, des gens « modernes » comme ceux d’aujourd’hui. Tout se situe sur la frontière entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. »
*juste le minimum pour ne pas trop révéler l’intrigue*
Le Pére Porcher, l’équivalent du Père Noël sur le Disque, a… disparu. Il est pourtant de la plus grande importance que les enfants croient toujours en lui. La Mort décide alors de le remplacer, et charge sa petite-fille, Suzanne, de découvrir ce qui est arrivé au Père Porcher.
Une grande part de l’intrigue se passe à Ankh-Morpork, la plus grande ville de tout le Disque, une cité état tentaculaire, « aussi grouillante de vie qu’un chien mort sur une termitière », comprenant de nombreuses guildes (Marchands, Couturières, Voleurs, Assassins…) ainsi que l’Université de l’Invisible, la plus grande école de magie du Disque.
Le film est aussi proche du roman que le budget le permettait et le scénario a été surveillé de près par l’auteur, qui fait lui-même une apparition Hitchcockienne en tant que fabricant de jouets.
Le film a été réalisé par Vadim Jean et produit par The Mob film co. , et par un hasard qui fait bien les choses, tous ou presque étaient des fans. Tout s’est tellement bien passé tout di long que M. Pratchett se demanderait à quel moment des tentacules sortiraient du crâne de ses interlocuteurs, car c’était trop beau pour durer.
Et ils ne sont certainement pas en train d’adapter
La Huitième Couleur, non, on en aurait entendu parler