Pour faire du vrai combat, la faux c'est, il faut bien l'admettre, complètement foireux. Ce n'est pas pour rien que les fermiers démontaient la lame pour la monter le long d'un manche (qui n'est pas celui d'une faux).

Par contre comme dit ci-dessus, une faux pour un PNJ de grand méchant ça peut marcher de manière très ponctuelle. Mais on ne peut plus vraiment parler de combat dans ces conditions. La faux n'aura pour but que d'être sécuritaire et de faire du décorum.

Ou alors ils enlevaient même complétement la lame, l'aiguisait de l'autre côté et cela donnait un dussack. (mais là on entre dans le domaine de la recherche historique, on a pas de sources ni de preuves, mais c'est une explication plausible)

Effectivement par contre des sources si (gravure 15e) mais pas de piece d'epoque.

http://www.gladiatores.de/waffenpic/dussack1.jpg

et la pour la version "j'attache a la hampe" tableau sur la revolte des paysans en allemagne 1525 (le personnage en vert en bas a gauche , ont peux le voir attaché la lame.)

http://media.kunst-fuer-alle.de/img/41/ ... nkrieg.jpg

Le dussack c'était pas une épée courte et massive d'entraînement chez les Allemands (et autres peuples germaniques)?

Oui aussi , dans le cas d'entrainement elle sont en bois mais le fait que la dussack est une lame faite d'une piece dans une lame de faux peux laissé pensé que la dussack a une certaine epoque aurais pu etre "l'epee du pauvre" ou du "revolté".

dussack d'entrainement :

http://www.instructables.com/image/FQ9T ... f-wood.jpg

Si elle était faîtes dans une pièce de faux, je ne me pause même pas la question sur son statut sur le champ de bataille: arme du pauvre, arme de dernier recours, bref, une arme rapide à faire, peu coûteuse, mais pas nécessairement de qualité.

Sinon, Cricri, je parlais d'une seule épaisseur de mousse, oui, mais une épaisseur de 3 cm! Ca change tout, plus facile à sculpter, plus solidaire. Le seul défit reste de l'attacher assez solidement au manche mais en soi, avec une technique classique, ça suffit!