j'aimerais savoir quelle genre de mousse faut-il prendre pour des armes en mousse injecter
car j'ai deja mon moulle et un tige de fibre de verre,il me reste juste a trouver de la mousse

de la mousse de polyuréthane souple ou de la mousse de latex : il n'ya que ça qui soit accessible à un amateur (et encore, faut avoir l'habitude de ce genre de moulage).... mais ça revient à cher !
les pro ont leur polymères dont ils gardent le secret jalousement.

j'ai un projet d'arme en mousse injecté a base de PU.

Qui dit mousse injecter, dit Injection. Qui dit injection de PU, dit Mousseur :p

Bref, la moins chere sur le marché (hors téte de mélange) c'est environs 60k francs (prix d'achat de mon entreprise, donc beaucoup moins chere que pour un particulier)

Toi tu pense plutot a couler ta mousse (etat liquide) dans le moule... ca ne marchera pas, pourquoi?

- Tu ne pourra faire qu'une expansion libre, donc seulement la densification naturel de ta mousse...
- Gros risque de bulle d'air dans le fond du moule
- Il faut aussi réguler le moule (40 a 70°C suivant la mousse PU) sinon, la peau va se décoler au démoulage.

Bref, c'est pas donné a tout le monde

Il me manque que la machine, car j'ai deja plusieurs mousse PU a peau dispo a mon entreprise ^^

en fait y a moyen de règler ces problème :
-en bouchant l'orifice du moule avec une planchette tenue avec la main, on augmente la pression pendant la phase d'expansion et la mousse est plus dense.
-avant de verser la mousse, faire une peau en latex de 6 couches (on remplie latex on évacu le trop plein on laisse sécher et on recommence) camouflera des bulles à la surface d la mousse.
il y a aussi moyen de controller la densité de la mousse en fonction du dosage relatif des 2 composants de la mousse lors du mélange des réactifs
http://www.smooth-on.com/foams.htm


chez mon fournisseur Lyonnais, il y a un assortiment de mousse comme sur la photo en vitrine et le client peut palper les échantillons pour choisir sa dureté de mousse.

en fait y a moyen de règler ces problème :
-en bouchant l'orifice du moule avec une planchette tenue avec la main, on augmente la pression pendant la phase d'expansion et la mousse est plus dense.
-avant de verser la mousse, faire une peau en latex de 6 couches (on remplie latex on évacu le trop plein on laisse sécher et on recommence) camouflera des bulles à la surface d la mousse.
il y a aussi moyen de controller la densité de la mousse en fonction du dosage relatif des 2 composants de la mousse lors du mélange des réactifs
http://www.smooth-on.com/foams.htm
chez mon fournisseur Lyonnais, il y a un assortiment de mousse comme sur la photo en vitrine et le client peut palper les échantillons pour choisir sa dureté de mousse.[/quote]

Le probléme de boucher ton orifice comme ca: Tu ne controlera jamais la densification de la mousse... il faut un minimum de matos. Et normalement une mousse bien densifier (homogene) tu ne pourra pas la retenir a la main la planchette :p (j'ai vu du 60g/L bouger des cales de moule en acier).
Pour le dosage des 2 composants au niveau de la densité, oui tu as raison (c'est la modification de l'index du rapport de mélange), mais en expansion libre... en faite le mieux c'est d'agir sur l'expansif (eau, pentane, cyclo-pentane, 245fa etc...) mais c'est pas donné aux particuliers :p
Et le probléme de bouger l'index d'une mousse, c'est que tu ne sait pas si elle va être stable sur le long terme... (décoloration, efondrement des céllules, déformation: vrille, banane)

Moi c'est ke boulot que je fait depuis 7 ans donc bon :p même si je suis spécialisé mousse rigide ( http://www.elastogran.de/elocal/elastopor.htm c'est le site de mon entreprise) je dévelloppe des mousses souple de temps en temps


Bref on peu la faire a l'arrache comme ca, mais si l'épée sort bien du moule, c'est pas dit qu'elle fasse deux GN....

Par contre, pour les bulles, le latex va camoufler, mais la bulle existera... et sous les cous, je pense que sa pourrais faire un décollement du latex petit a petit autour des bulles...
Sortie des parements en tole acier, ou en papier je connait po

Well well well, il est étrange de retrouver les mêmes personnes autour des mêmes problématiques de plastiques d'un forum à l'autre.
En l'occurence, je suis toujours moins calé que vous sur le sujet niveau technique. Par contre je suis partant pour faire le tour des
fournisseurs de mousses injectées souples et de dénicher celle qui nous plairait tous.

Bien sûr ensuite, il nous reste la question du mousseur, ah sacré mousseur!

Je vois bien une solution ceci dit... En "louer" un à une entreprise comme celle de Kronn, c'est à dire passer une commande, une vraie.
En clair: faire son moule selon les standards nécessaires puis aller voir une entreprise et négocier les coûts de production.
Faut chiffrer tout ça maintenant.

J'ai moi-même fait plusieurs tests avec différents types de mousses injectées. Et si j'a un conseil à vous donner, ne perdez pas votre temps.

Peu importe la formulation que vous utiliserez, la mousse de latex ne fera jamais l'affaire. Et pour les mousses de polyuréthane; les propriétés de ces mousses ne correspondent pas aux standards pour faire une arme sécuritaire et durable. La résistance au déchirement est généralement trop faible, la densité est trop importante ce qui donne des armes lourdes, donc potentiellement dangereuses. (J'en ai fait l'expérience ce week-end même... Et sur ce forum même, il me semble avoir lu les mésaventures de quelqu'un qui c'est fait cassé deux doigts par l'une d'elle...) De plus l'adhérence au polyuréthane est un cauchemar technique en soi. De plus, travailler avec ce genre de matériel est très compliqué, cela prend des gens expérimentés en moulage, et idéalement de l'équipement lourd.

Donc, à moins que vous n'ayez déjà un machine à injection de mousse à la maison ( valeur entre 25 000- 250 000 US$) et que vous prévoyez produire plusieurs centaines d'exemplaires du même modèle chaque année... Je serais d'avis que vous devriez vous en tenir au bon vieux plastazote sculpté. Avec du temps et de la minutie on peut faire de vrai petits chef d'oeuvre, et ce avec un équipement relativement simple.

La preuve: http://www.ateliers-nemesis.com/medievales.htm http://www.ateliers-nemesis.com/galerie.htm

Je suis bien d'accord avec toi.
L'innovation c'est bien, certes, mais les meilleurs résultats viendront à force de travail de patience et d'expérience.

La recette miracle de l'Excalibur faite en 10min sans aucun coup de cutter moi j'y crois pas trop... (Et même ça m'énerverait ! )

Et il ne faut pas non plus oublie la plus-value d'une arme originale, sculptée à la main par un artisan talentueux, selon vos désirs.

Une arme unique qui correspond à votre personnage, c'est quand même mieux pour votre standing, qu'une super épée de la mort, retrouvée en 38 exemplaires sur le même GN en même temps.

Rebelote: dans mes précedents messages il était question d'un processus standardisé pour des armes standard en entrée de gamme.
Enfin, je suis d'accord avec Aldriel: l'injection faut vouloir s'y mettre et surtout, faut pouvoir s'y mettre!
Et je n'oublie pas le plaisir d'avoir "son" arme unique.
(En l'occurence, pour moi j'aime bien les armes simples et passe-partout mais c'est très personnel ces choses là)

Oui, c'est sûr que c'est le genre de technologie qui implique la production de masse de modèle plutôt ordinaires. Mais à ce jour je n'ai pas vu d'armes en mousse injectée qui ont su me convaincre . Les armes sont soient trop fragiles ou encore lourdes et dangereuses. Et on parle d'un investissement initial de plusiuers dizaines de milliers de dollars pour arriver à un résultat intéressant.

La question pour la mousse injectée est de voir ça avec des spécialistes, des vrais experts du domaine...
Une idée me vient: ça pourrait être un bon sujet de recherche pour une université, en partenariat avec une entreprise non?
Il faudrait trouver: 1) un thésard qui accepte un sujet aussi spécial; par exemple en thèse de chimie spécialisé dans les mousses plastiques.
2) une entreprise qui accepte de mettre des ronds là dedans.

Ceci dit, j'ai eu l'occasion de voir pas mal de mousses ces derniers temps et certaines m'ont fait un bel effet je dois dire.
Pour le plaisir, je crois que je vais contacter la boîte qui fait ça.

Pour l'investissement, si on compte la recherche, les machines, les locaux et les salaires: oui on doit tourner à un tel investissement.
Mais la vraie question c'est le coût de la recherche, parce que le reste c'est comme pour toute entreprise finalement: il faut des fonds initiaux.